Bangkok … Voila 3 jours qu’on est à Bangkok et déjà tant d’impressions sur cette ville. 

Je rembobine vite fait pour arriver à … notre arrivée. 

Mardi soir nous atterrissons à Bangkok à 2h du matin. A l’origine nous étions censé arriver à 18h mais notre vol London – Dubai a pris du retard ce qui nous a fait rater la correspondance et donc repartir beaucoup plus tard. Revenons à nos moutons Thailandais , il est 2h du mat, on est à l’aéroport de Bangkok, on a réservé une chambre d’hôtel dans le centre de la ville mais on ne sait pas du tout si quelqu’un sera là pour nous accueillir vu l’heure. Dans tous les cas, priorité : quitter l’aéroport ! On sort de l’aéroport : température 35°, taux d’humidité : très humide. On chope un « Taxi meter » , un des 2 genres de Taxi de Bangkok. Là, Lucie me dit : « Faut faire attention il y a 2 types de taxi, y’en a un qu’il ne faut surtout pas prendre, mais je sais plus lequel ». Oh yeah en voila une info qu’elle est bonne et bien allons-y! Le souci dans un pays où tu comprends strictement rien* c’est que tu as sans cesse le doute sur la franchise des gens. Finalement, le taxi nous fait payer 500 Bahts ( à peu près 12 euros) pour faire un peu plus d’une heure de route, ce qui est honnête par rapport à ce qu’on a pu entendre ou lire. Il nous dépose juste devant notre « Bangkok Chili Hotel« , dans une toute petite rue où la voiture passait à peine, le chauffeur a même fait rapper son rétro à la manière d’un parmesan. Nous rentrons dans l’hôtel en tirant une porte vitrée coulissante, et là, on aperçoit un mec allongé, à même le sol, un petit « Hello » de notre part le réveille. « Hello, we have a booking … name Salado … » . Le « réceptionniste » encore à moitié endormi cherche mais ne trouve pas la réservation. Puis je vois qu’il a un papier « Expedia » sous les yeux, site avec lequel j’ai réservé donc : « It might be my booking, expedia bla bla ». Et lui de me répondre : »Flower Power ?  » . Et mince … j’avais réservé avec mes identifiants facebook, donc adieu Florian Salado, nom de code Flower Power. On remplit quelques papiers et voilà, la chambre est à nous, et grande nouvelle pour notre future nuit, il y a la clim. 

Désolé pour le roman, voici quelques photos, prises juste devant notre hôtel.

 

 

 

*quand je dis strictement c’est vraiment rien du tout! Même « oui » et « non » sont des mots qui ressemblent à des noms de plats portugais prononcés par un allemand